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 POUR QUAND LA FIN DE CETTE SOCIETE? chapitre 1

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nicolas_le_reveur
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nicolas_le_reveur


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Date d'inscription : 20/04/2005

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MessageSujet: POUR QUAND LA FIN DE CETTE SOCIETE? chapitre 1   POUR QUAND LA FIN DE CETTE SOCIETE? chapitre 1 EmptyLun 2 Mai à 20:36

CHAPITRE I « sacrifice »

- Sophie, ouvres.
BANG, BANG
- Sophie, ça urge ! SOPHIE !
- qui est là ? Aboya-t-elle
- c’est Doyle
Sophie ouvre et Doyle se précipite à l’intérieur
- et mais t’es malade ! Qu’es-ce qui te prend de venir à cet heure-ci me réveiller ?
- la virée de la semaine dernière
- qu’es-ce qui a avec la virée de la semaine dernière ? Ils sont fâchés ?
- oui et ils ont organisé une expédition punitive
- une quoi ?
- j’ai été mis au courant par Théophile. Ils étaient chez lui, le temps que j’arrive, il était mort. Et ces enfoirés se sont acharnés comme des damnés.
- mais ce sont des damnés, je…je vais les…les tué et avec une tel férocité qu’il vont regretté d’être revenu d’entre les morts.
Elle part vers la cave. Il l’attrape par le bras
- non, ne fais pas ça ! La colère t’aveugle. Il était le meilleur tueur. Et toi, t’y connais rien. Tu vas te faire tuer…et pour RIEN et plus !
- lâche-moi, tu me fais mal.
- non, tu ne te contrôles plus, dit-il avec fermeté
- si tu fais ça, c’est que tu ne l’aimes pas !
- si je l’aimais mais ce n’est pas rendre service à sa mémoire que d’aller me faire tuer pour rien. Si on part, que l’on se planque et que l’on mûrit un plan, nous aurons une chance de le venger.
- c’est…
- merde, ils arrivent, vite ! On se casse par le toit
Doyle traversa le living, monta les escaliers, rentra dans la chambre de Sophie, qui suivait contrainte comme Doyle lui tenait encore son bras, ouvrit la fenêtre et sauta sur le toit. À ce moment, la porte d’en bas se fracassa. Les halètements se font de plus en plus proche, ils montent les escaliers. Doyle fit passé Sophie sur le muret.
- cours ! Et ne t’occupe plus de moi ! Cours !
Et elle prit ses jambes à son coup. Et ils apparurent.
- coucou mes agneaux. On profite de la pleine lune pour faire ses emplettes ?
Il pris son couteau
- Théophile n’était pas aimé que des dieux, nous aussi on a apprécié sa viande. Elle était bien tendre. Voyons si la tienne l’est aussi, dit l’un d’entre eux avec une voix sifflante.
- Werewolf, tu m’amuses. Je n’ai jamais vu un chef de clan aussi incapable. Je t’ai tué combien de fois ? Une bonne cinquantaine je crois. Mais tu as l’air d’être sure de toi cette fois. J’ai entendu d’autre pas. Ce sont des nouveaux ?
- oui, j’ai des Werewolfkinds. Venez !
Et cinq loups-garous sortirent de l’ombre.
- je vois, tu fais leur écolage. Et qu’elle est le thème de cette leçon ?
- « la mort pas torture » ou « comment s’amusé avec ses victimes ? »
Aussitôt, l’un d’entre eux se jeta sur Doyle et l’envoya contre un mur en contre bas. Il était complètement sonné. Le loup-garou fit un bon et retomba à l’endroit où Doyle se trouvait quelque instant avant. Doyle lui envoya un violent coup de pied dans les côtes, sortit son deuxième couteau, passa derrière le loup et l’égorgea. Deux autres lui sautèrent dessus, il dégaina sa mini arbalète et envoya à chacun une flèche empoisonnée. Ils se fracassèrent de part et d’autre de Doyle contre le mur. Les deux autres coururent sur le toit et descendirent dans la ruelle. Ils sortirent leurs griffes et se ruèrent sur lui, il lâcha son arbalète, sortit ses deux dagues de défense et les lança. Ils furent traversés de part en part.
- alors Werewolf, ça fait quoi d’en perdre comme ça cinq d’un coup et de savoir en plus que leur cible n’est même pas blessé gravement ?
- rigole, un jour, je te tuerai.
- je crois que tu attends ce jour depuis plus de sept siècles et il n’est pas encore venu. Tu essayes toujours de façon violente. Maintenant, passe un petit annonce : « cherche désespérément jour de réussite, se présenté à « ton adresse ». Récompense promise et généreuse ». Ça fonctionnera peut-être. Aller bey bey.
Et Doyle disparu.
Quelques secondes plus tard, il réapparu. Son regard traduisait sa terreur.
- tu as appris les sorts d’entraves ?
- oui, son ton était olympien.
Aussitôt, Werewolf se jeta sur lui avec une violence qu’il n’avait alors jamais atteinte.
- je vais te tuer et je vais y prendre goût. Cela fait sept siècles que je ne l’ai plus fait et tu te rappelles de la dernière fois ? J’avais fait ça avec une lenteur extrême. Cette fois, pas.
Werewolf lui sauta à la gorge, planta ses crocs dans sa carotide et la lui arracha. Son visage tout ensanglanté, il ne voyait plus, le sang de Doyle était propulsé par saccade directement dans ses yeux tandis que celui-ci tentait de s’enfuir en rampant sur le dos et sans ciller. Il veut savoir quand Werewolf l’attaquera encore une fois.
- il me semble que tu es droitier.
- ça n’as toujours pas changer, dit-il d’un air hautain.
- tu vas regretter ton arrogance
Werewolf fonda sur son bras droit, le bloqua et se mit à le mordiller. Doyle hurlait de douleur et était en plus quasiment exsangue. Werewolf se décida, au grand soulagement de Doyle, à arracher le bras dans un énergique coup de nuque et le dégusta devant lui.
- ho, j’ai un morceau qui me gène. Tu n’auras pas un cure-dent ?
- vas te faire voir chez les vampires
- mais que je suis bête, il y a plus de petit os au niveau du poignet. Il doit certainement en avoir qui ferait l’affaire, dit-il sur un air pompeux.
- tu me le payeras, je te le jure, dit-il dans un dernier râle.
- tu ne vas crever maintenant, ce ne serait pas juste. Reviens à la vie.
Le corps de Doyle se raidis, il en sort un cri parfaitement inhumain. Une lumière le transperça, un sifflement de plus en plus strident se fait entendre, il devient insupportable. Il devint brusquement grave et le sol se mit à trembler, des démons infernaux surgirent du sol. Ils tournent autours du cadavre de Doyle, l’un deux entra en lui. Le corps fut pris de convulsion de plus en plus intense. Son enveloppe charnelle souffre excessivement, sa peau se déchire et lambeau de plus en plus fin. Sa peau souhaite. Ses yeux, exorbité. La bouche, sanguinolente. Une mare de sang a pris place sous lui et dans hurlement bestial son corps explosa. Dans ce décor infernal, un nourrisson hurle. Werewolf s’en approcha.
- dans trente ans, je reviendrai. Maintenant, pense tes blessures, parfait tes connaissances et alors, nos chemin se croiseront à nouveau.
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